Histoire Politique

L’œuvre d’Henri Guillemin est très importante : plus de 70 ouvrages portant sur l’histoire littéraire, l’histoire politique, la question religieuse, les livres pour la jeunesse, comportant également des portraits et des essais ; des centaines de conférences données en France mais surtout en Belgique et en Suisse (disponibles sur ce site), des centaines d’articles…

Les livres présentés dans cette section concernent l’histoire politique.

Ils sont tous disponibles chez Utovie éditeur exclusif des œuvres d’Henri Guillemin.

L’histoire sérieuse n’a pas encore mis en lumière la place qu’a tenue, dans la Révolution française, et dès le début, la crainte, chez les possédants, d’une menace sur leurs biens.
Ce qu’il faut savoir, et capitalement, c’est que, dès la réunion des Etats généraux, une grande peur s’est déclarée chez les honnêtes gens (les gens de biens, les gens qui ont du bien, des biens), face à ceux que l’on va exclure du droit de vote et de la garde nationale : les non-possédants, les gens de rien.

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Actes du colloque « Henri Guillemin et la Commune – le moment du peuple ? » que nous avons organisé le 19 novembre 2016 à l’Université Paris 3 Sorbonne Nouvelle – Censier.

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La légende est bien établie : face au Despote, Mme de Staël, sous le Consulat et l’Empire, fut l’intraitable opposante, l’incarnation de la « liberté ». Malheureusement, oui, c’est une légende, et même une légende bouffonne.

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Dans ses conversations avec Marguerite Duras, François Mitterand lui conseille la lecture de Nationalistes et nationaux (1870-1940) comme l’un des livres les plus éclairants de Guillemin. Il y livre, en effet, l’essentiel de sa compréhension de l’histoire politique française depuis la Guerre de 1870 jusqu’à la Seconde Guerre Mondiale….

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Premier tome de la trilogie consacrée aux origines de la Commune, cette curieuse guerre de 70 jette un regard tout à fait nouveau sur le déroulement des événements qui ont débouché sur le désastre de Sedan et l’abdication de Napoléon III.

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Henri Guillemin n’est pas un « historien courtois », ni un « historien courtisan », les tenants de l' »histoire officielle » le lui ont assez souvent reproché. Dans ce deuxième volume de la trilogie sur les origines de la Commune, il en donne une nouvelle fois la preuve.

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Avec ce troisième volume d’une étude consacrée aux Origines de la Commune, nous voici venus à la capitulation de Paris, en janvier 1871.

Les jeux sont faits. Ils l’étaient dès le début, en vérité. La capitulation est à l’ordre du jour. Depuis que le Gouvernement des « Jules » dit faussement Gouvernement de la Défense nationale attendait de la bienveillante neutralité de Bismarck qu’elle lui laisse régler la question sociale qui terrorisait les possédants.

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Henri Guillemin ne porte pas Monsieur Thiers dans son cœur. Il retrace le déroulement de la carrière de cet homme politique que tous les historiens encensent, en démontrant qu’il n’a jamais obéi qu’à une seule préoccupation : défendre les intérêts de la bourgeoisie et le sacro-saint principe de l’inviolabilité de la propriété contre les idées abominables des socialistes.
Pour ce faire, il était prêt à tout.

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Louis-Napoléon Bonaparte, précurseur des dictatures modernes, telle est la thèse d’Henri Guillemin dans Le Coup du 2 décembre.
Rassurant les « honnêtes gens’, selon la formule de La Fayette que déteste Guillemin, démocrate d’apparence, plus intelligent qu’il n’a été dit, Louis Napoléon s’entoure d’aventuriers qui ne voient que les bénéfices qu’ils peuvent retirer de la mise en coupe réglée des richesses du pays.

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La bourgeoisie dormait sur ses deux oreilles – la Révolution montagnarde (1792/1794) était loin ; l’Empire, la Restauration, la Monarchie de Juillet avaient consolidé son pouvoir ; il y avait bien eu quelques peurs en 1830, mais tout était vite rentré dans l’ordre. On pouvait continuer de s’enrichir en paix et tant pis pour les pauvres.

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L’alliance du trône et de l’autel avait été mise à mal par les événements de la Révolution. La classe ouvrière était largement déchristianisée, la bourgeoisie citadine n’avait qu’une pratique sociale de la religion ; seule l’aristocratie, et les paysans qu’elle influençait, demeurait attachée au catholicisme.

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Pourquoi, en 1963, Guillemin s’attaque-t-il à l’affaire Dreyfus, alors qu’elle a déjà suscité une énorme bibliographie, et qu’en outre l’innocence de Dreyfus ne fait plus de doute ? 

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Comme souvent dans les titres de Guillemin, un élément intrigue, et c’est celui qui donne accès à l’essentiel. Le nom de Jaurès reste si connu qu’on s’imagine bien savoir ce qui, avant même sa mort tragique, a fait de lui un symbole : en ce tribun s’incarne le socialisme français d’avant 14. Guillemin, sans le nier, veut dégager ce qui comptait vraiment pour lui, son « arrière-pensée ».

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Publié en 1970, repris en 1977 dans la collection « Folio », ce livre fut un succès de librairie pour Guillemin et un objet de scandale pour ceux des historiens qui le considèrent comme un trublion infréquentable ; la célèbre Régine Pernoud fait de lui la cible principale de son pamphlet Jeanne devant les Cauchon.

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Comme il l’a souvent fait, Guillemin a publié ce bref livre pour fêter à sa façon, en 1969, le bicentenaire de la naissance du « petit chacal », comme il l’appelle en écho à l’une de ses désignations légendaires les plus célèbres. Quelle fête, en effet ! au rebours de la vulgate scolaire et cocardière, Napoléon apparaît au fil de ces pages comme un avide, un cynique, et naturellement comme le tueur, à la guerre, d’une bonne partie de ses sujets. 

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Robespierre avait bien, en effet, une mystique – au moins au sens où l’entendait Péguy. La mystique républicaine, disait Péguy, c’est qu’on se faisait tuer pour la République ! Il se trouve que c’est exactement le parti qu’adopta Robespierre.

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Ce livre est la transcription et la mise au net d’enregistrements des conférences données par Henri Guillemin à la Radiotélévision belge en 1967 sur l’histoire de la Révolution française. Guillemin donne ici une vision fort différente de celle de nos manuels scolaires….

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Actes du colloque « Henri Guillemin et la Révolution française – le moment Robespierre » qui se déroula le 26 octobre 2013 à l’Institut Catholique de Paris (ICP).

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Actes du colloque « Henri Guillemin, historien et écrivain de la Révolution française » qui se déroula les 21 et 22 novembre 2014 à Mâcon.

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Ce livre resta oublié pendant 50 ans ! Au moment où la complaisance pour les compromis douteux rivalise avec la servilité vis-à-vis des forces oligarchiques où la démocratie est une béance d’absence, il est essentiel de bien comprendre que l’extrême droite n’arrive jamais par hasard au pouvoir.

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La destinée du Général est plus facile à résumer dans son parcours éblouissant qu’à suivre des yeux, pas à pas. Des zones d’ombre subsistent dans cette trajectoire, et les moyens mis en œuvre par de Gaulle pour parvenir à ses fins ne sont pas tous du même ordre ; il arrive que l’élégance y tombe dans la manigance...

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En août 1990 l’Irak de Saddam Hussein envahit et annexe le Koweït. Commence alors la première guerre du Golfe. Comment qualifier cette guerre : guerre néo coloniale, guerre pour le pétrole, guerre permettant aux Etats-Unis d’affirmer leur hégémonie à l’échelle mondiale ?

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Actes du colloque L’Enseignement de l’Histoire en péril, organisé le 6 novembre 2021 par l’Association Les Ami(e)s d’Henri Guillemin (LAHG), réunis et présentés par Patrick Berthier.

Interventions de : Patrick Berthier, Yves Ansel, Rémy Herrera, Fadi Kassem, Florence Gauthier, Annie Lacroix-Riz.

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